Une image qui donne une idée de la disparité de moyens entre les écologistes et les baleiniers.
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Afin d’éviter une escalade dangereuse et pour éviter des pertes de vie, le navire de la Sea Shepherd Society, le Steve Irwin a quitté la Mer de Ross où il harcelait les opérations de la flotte baleinière japonaise. Le capitaine Watson a aussi estimé que l’organisation écologiste avait besoin d’un navire plus rapide et disposant d’une plus grande autonomie, pour compétitionner avec les navires japonais. Il a affirmé son intention de magasiner un autre navire.
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Mais ce qui incite davantage ce repli stratégique de Sea Shepherd c’est l’arrivée prochaine dans la Mer de Ross du Taiyo Maru #38, un navire de sécurité japonais qui serait équipé d’une équipe spécialement entraînée pour aborder les navires. Son départ aurait été signalé des îles Fidji par des sources fiables. Sea Shepherd ne pouvant se permettre que la documentation vidéo ne soit saisie par les Japonais, le repli est l’alternative la plus prudente. La documentation de cette saison anti-chasse à la baleine servira pour la deuxième série « Whales War » sur Animal Planet.
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Cette arrivée de la cavalerie japonaise montre au moins une chose, Sea Shepherd commençait vraiment à perturber pour vrai les activités de la flotte baleinière japonaise. Elle montre aussi que Paul Watson est une personne sage malgré la vilaine réputation qu’il a au Canada. Il ne veut pas que le harcèlement contre les baleiniers produise des morts dans les deux camps. Le respect de la vie étant le principe fondateur de l’organisation.
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Une baleine harponnée avec son baleineau. On voit encore le cordon ombilical.
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Voici en gros la traduction du message de Paul Watson aux médias:
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« Le vaisseau Steve Irwin de la Sea Shepherd Conservation et son équipage se sont retiré de la zone d’opération de la flotte baleinière pour commencer les préparations afin revenir avec un bateau plus rapide ayant un plus grand rayon d’action. J’ai toujours dit que je ferais tout ce qu’il est possible de faire, faute de blesser quelqu’un afin arrêter la chasse illégale des baleines dans le sanctuaire de l’Antarctique. Nous avons fait tout ce que nous pouvions avec les ressources à notre disposition cette année.
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Nous avons fermer leur opération illégale pendant un mois au total. Nous leur avons coûter de l’argent et nous avons sauver la vie de quantités de baleines. Même si nous sommes prêts à prendre les risques nécessaires, même pour nos vies, je ne suis pas prêt à faire aux baleiniers Japonais ce qu’ils font aux baleines. L’escalade de la violence de la part des chasseurs de baleines va résulter en des blessures sérieuses, peut être même des fatalités si la confrontation continue à escalader. »
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Le Japon pensant ce temps tente d’amadouer le monde avec les informations bidons de son site web. L’Institut Japonais de Recherche des Cétacés (Institute of Cetacean Research) qui commandite la chasse « scientifique » à la baleine raconte des mensonges à la pelle sur son site. Il publie les résultats de ses études « scientifiques » qui comportent des données qui font rire quant on connaît un peu la biologie des cétacés. Ainsi la chose qui revient le plus souvent dans leurs études est la relation entre le nombre de poissons dans les océans et le nombre de baleines. Selon eux, l’augmentation de la population de baleines depuis le moratoire de la CBI a fait baisser les stocks de poissons (on croirait entendre les arguments des ti-counes chasseurs de phoques). Ainsi le résultat de leur massacre annuel de 1000 baleines montrerait que les baleines mangent trop de poissons si on se fit au contenu des estomacs des baleines tuées. Le seul problème avec ces données est que le plus mongolien des mongols sait que les rorquals que les baleiniers japonais chassent (rorqual de Minke, rorqual Commun, rorqual à bosses) mangent principalement du plancton!
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Le Japon oublie aussi de mentionner l’impact de son énorme flotte de pêche industrielle (200,000 hommes!) qui détruit littéralement les fonds marins dans tous les océans de la Terre. Le Japon est le plus grand consommateur de poissons du monde. La surpêche du Japon près des côtes des autres pays accule même les pêcheurs locaux à la faillite. La prolifération des pirates en Somalie est une conséquence directe et visible de ce phénomène. Plusieurs de ces pirates étant des anciens pêcheurs n’ayant plus rien à pêcher.
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Mon avis de tout ceci est que je trouve que Watson a pris une bonne décision. Comment aurait réagit l’équipage du Steve Irwin en voyant des soldats japonais aborder le navire en eaux internationales? Cela aurait pu mal finir. Il y a un ancien général chinois qui a dit qu’un bon général est celui qui sait quant une bataille peut être gagnée ou quant elle peut être perdue. En ce sens je crois que la décision de Watson était la meilleure. En retournant harceler les Japonais avec un navire plus imposant en taille et en puissance, avec plus d’appuis des autres pays, les chances de gagner seront meilleures et peut-être que ce carnage marin finira un jour.
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Après l’attaque surprise de Pearl Harbour le 7 décembre 1941, l’amiral Yamamoto avait dit quelque chose du genre: «Je crains que tout ce que nous avons réussi à faire est de réveiller un géant endormi et de le remplir d’une terrible résolution.» Pour reprendre la phrase de Yamamoto, je crois que les évènements récents en Mer de Ross vont donner à Sea Shepherd une terrible résolution également.
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Publié par : pierrotlapin | 8 février 2009

Trouvé sur le site de Nono-Canada

J’ai trouvé cela sur le site de Radio-Canada. On y parle des règles d’observation de la chasse au phoque en 2009. Des règles qui ont été crées pour que le public ne soit pas témoin de trop près du massacre et surtout de la lente agonie des phoques qui sont encore vivant quant on leur arrache la peau. Il y a un passage sur le site qui m’a fait croire un instant qu’on rit vraiment des observateurs de phoques:

« Actuellement, les observateurs doivent se tenir à au moins 10 mètres des chasseurs, mais peuvent être plus proches des bêtes, ce qui peut, selon le rapport du Comité permanent des pêches aux Communes publié en 2007, déranger les mères et leurs veaux. »

Ben oui c’est grave qu’un observateur dérange une mère phoque ou un veau pendant qu’il y a 500,000 phoques à côté qui se font arracher la peau vivant. Je suppose qu’un observateur fait plus peur et plus de dégâts aux phoques qu’un chasseur. Pi le chasseur qui égorge les phoques ça dérange sans doute pas les mères et leurs veaux? Je suppose que ça fait juste piquer un peu quant le phoque se fait arracher la peau vivant à -30. Dire que Radio-Canada et toute la marde que ce réseau produit c’est payé avec nos impôts. J’aimerais voir juste la face du sans-génie qui a composé l’expression que j’ai mis en rouge. J’en reviens pas d’écrire des idioties pareilles. Il y a un demi-million de phoques qui se font égorger par année sur les banquises canadiennes, c’est pas mal plus grave que les observateurs qui dérangent « les mères et les veaux ».

Sources:

Pour lire la source de cette stupidité que j’ai lu c’est ici.

Publié par : pierrotlapin | 8 février 2009

mauvaise foi et ti-counisme

Un phoque agonisant se sauve des chasseurs. Les bébés phoques tués ont pas toujours une mort rapide comme l’affirme la propagande canadienne.  Dans la région de Terre-Neuve où la chasse est pratiquée au fusil plus qu’au hakapik, un nombre indéterminé de phoque est  tué et perdu dans les eaux près de Terre-Neuve. Le quota de 350,000 phoques est donc probablement dépassé de beaucoup.

Le lobby pro-chasse aux phoques s’énerve  avec la saison de chasse aux phoques qui s’en vient. Comme d’habitude, on a rendu le phoque responsable de tous les malheurs. Cette semaine à la « Semaine Verte », qui est devenue une belle émission de propagande de Surpêche et Océans Canada, il y aura un reportage pour montrer que la morue est en voie d’extinction et que le phoque est responsable de cette extinction. Le phoque et la morue cohabitent depuis des millions d’années et à ce que je sache, il existe encore des morues. Le facteur nouveau c’est l’impact de l’action de l’Homme sur la vie marine. On parlera sans doute pas beaucoup des méfaits de la surpêche à la morue à la « Semaine Verte ». On dira que la Nature est niaiseuse et qu’elle s’autodétruit. Je crois que les chasseurs de phoques devraient lâcher le gros gin et aller à l’école pour s’instruire. Apprendre à faire autre chose de leurs dix doigt que de chasser le phoque de génération en génération.

Avant que le Canada ne soit peuplé, les côtes de Terre-Neuve et le Golfe St-Laurent regorgeaient de morues. On n’a qu’à se rappeler l’image de la « Minute du Patrimoine » où on voit Sebastien Cabot mettre une chaudière à l’eau et en tirer des morues à ras-bord. Il va même voir son roi et lui dit qu’il y a de la morue jusqu’à la fin des temps. La morue était très abondante à son époque et ceci explique un peu le début du peuplement au Canada. Pourtant et je vais mettre le passage en rouge gras car c’est important, la population de phoques était estimée à 40 millions d’individus! Ce qui est énorme par rapport au 3 millions de phoques actuellement. Alors pourquoi quant les phoques étaient 40 millions d’individus, ceux-ci n’ont pas vidé les eaux canadiennes des morues? Parce que la Nature est abondante quant on ne la perturbe pas dans son cycle naturel. Elle peut produire des milliards d’oeufs de morues si on intervient pas. « L’alimentation du phoque se compose principalement de harengs et de capelans mais également de morues, de crevettes, de crabes ou de homards. » 1 Ce qui est intéressant de voir c’est que les phoques mangent parfois de la morue mais que leur alimentation est constitué principalement de harengs qui sont des prédateurs de la morue. Et ceci, ce n’est pas moi qui le dit mais le Gouvernement du Canada lui-même dans ses recherches, comme le dit cet extrait: « Dans le Golfe, l’abondance de plus en plus grande de maquereaux et de harengs, qui se nourrissent d’oeufs et de larves de morue, a également eu un impact«  2


Cela signifie que quant on massacre 500,000 phoques en une seule saison, phoques qui sont des prédateurs des harengs, cela entraîne de ce fait une augmentation monstrueuse du nombre de harengs qui mange les oeufs et les larves des morues. On se ramasse avec un déséquilibre du nombre de harengs par rapport à celui des morues. Il est normal dans ce cas que les stocks de morues s’écroulent étant donné que les morues n’auront même pas le temps de dépasser le stade de larves étant donné le surnombre de harengs.

– Phoques = + Harengs.
+ Harengs = – Larves et d’oeufs de morues.

Les pêcheurs de morues eux-même continuent de pêcher les morues en quantité industrielle (la quantité prise par phoques est négligeable à côté) en disant que les morues se sont pas en voie d’extinction. Pourtant les chasseurs de phoques eux disent que les morues sont en voie d’extinction. De la mauvaise foi de tout les côtés juste pour faire la piasse.

Avec ce que je viens de dire sur la relation phoques-morues-harengs il est logique d’en déduire que plus les chasseurs vont tuer de phoques et moins il y aura de morues. L’effet désiré de la chasse aux phoques (la montée du stock de morues) donne donc l’effet contraire à celui escompté. Les harengs en perdant un grand nombre de leurs prédateurs les phoques, prospèrent en nombre et détruisent les oeufs et larves de morues. C’est cela le problème de revouvellement des stocks de morues. Mais on a affaire à 3 lobbys de requins. Un premier lobby de requins, le gouvernement canadien, qui veut juste acheter les votes des gens pour se faire réélire et cela au mépris de l’environnement. Un deuxième lobby de requins, celui des pêcheurs de morues, qui dit qu’il n’y en a pas de problème et que la pêche à la morue doit continuer de plus belle (bruit de caisse enregistreuse ici). Un troisième lobby de requins, celui des chasseurs de phoques qui dit que les phoques sont responsable de la baisse des stocks de morues (bruit de caisse enregistreuse ici aussi).

On a sans doute pas dit au public que les produits tirés du phoque comme les Omega3 sont bourré de BPC et de produits toxiques. Il faut pas le dire trop fort que la chair de phoque est plus ou moins comestible à cause des polluants. C’est un peu le même problème avec les gens des îles Féroé qui mangent de la chair de globicéphales contaminée au mercure. Les enfants de ces îles battent les records mondiaux de botulisme à cause du mercure. Ne parlons pas des gens de Norvège et du Japon qui mangent eux aussi de la viande au BPC. L’important c’est le cash et le marché, surtout en ces temps de crise économique.

Si les habitants des Iles-de-la-Madeleine avaient réussis à apprendre à faire autre chose de leur 10 doigts que de tuer des phoques, ils seraient peut-être moins dans la merde et au crochet de l’État canadien.  Il existe des centaines de métiers, pourquoi les gens des Iles-de-la-Madeleine ne sont pas capable de faire autre chose dans la vie? On est en 2009 et eux vivent encore d’une économie anachronique qui date du temps de la Nouvelle-France. J’ai particulièrement hâte au moment où les chasseurs de phoques auront tué le dernier phoque du Golfe St-Laurent et que là, parce ce qu’ils sont trop cupides, ils crèveront ensuite de faim parce qu’ils auront été incapable de se recycler. Ce qui transformera alors les Iles-de-la-Madeleine en village fantôme. Le Golfe St-Laurent sera lui devenu à ce moment une mer fantôme et vide à cause de la stupidité et de la cupidité humaine.

Sources:
Le phoque du Groenland.

La morue et le phoque au Canada.

Publié par : pierrotlapin | 7 février 2009

Un système de détection pour sauver la vie des cétacés

Alors que les Japonais se foutent totalement du sort des baleines, ailleurs des gens font des efforts pour préserver la vie des cétacés. C’est donc d’une bonne nouvelle dont je vais parler ici. Une nouvelle qui montre qu’on peut créer des emplois tout en aidant à préserver les ressources naturelles.
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Des Français sont en train de mettre au point le dispositif anticollision RepCet (Réseau de report des grands cétacés). En gros, lorsqu’une baleine est repérée par un navire, des informations peuvent être envoyées par satellite sur un serveur situé à terre. Les données comprennent la position du navire observateur, la position du cétacé et son espèce et le nombre d’individus observés. Les navires abonnés au dispositif peuvent ainsi voir en temps réel la position des cétacés et prendre une autre route pour les éviter.
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Les compagnies maritimes sont intéressées à cause des dégâts que font parfois les baleines lors des collisions. Le système va d’abord être testé en Méditerranée et s’il marche bien, sera implanté en Mer Noire. L’Espagne serait intéressée au projet également. Cependant, je doute que les navires japonais soient un jour équipés de ce système.

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Source:
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Des navires émetteurs au secours des cétacés.
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Du sang s’écoule des trous d’écoulement du navire-usine Nisshin Maru 2, signe qu’une baleine vient d’être tuée et est en train de se faire découper en petits morceaux par le navire de « recherche » japonais. Recherche mon cul!
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On ne peut pas dire qu’il n’y a pas d’action dans la campagne 2009 anti-chasse à la baleine de Sea Shepherd. Je fais encore la job que Radio-Canada devrait faire si l’environnement c’est si important que cela au Canada. Les deux camps dans les eaux antarctiques jouent un jeu dangereux d’intimidation, même s’il est évident que le camp japonais dispose de davantage de ressources. Le Japon passe pour un pays avec le droit derrière lui alors que Sea Shepherd passe encore pour une organisation de pirates écolos des mers. Après avoir refait le plein de carburant en Tasmanie, le Steve Irwin est retourné au combat.

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Dès l’arrivé du bateau de Sea Shepherd à proximité de la flotte baleinière japonaise, la chasse des baleiniers japonais a été perturbée au point que ceux-ci ont pété les plombs a de multiples reprises. Les trois navires harponneurs japonais (les Yushin Maru No.1, No.2 et No.3) ont tenté de briser l’hélice du navire de l’organisation écologiste en percutant celle-ci. Aussi le navire-usine Nisshin Maru a tenté lui d’intimider l’équipage du Steve Irwin en feintant une collision. Le Nisshin Maru est un énorme navire et c’est un geste irresponsable qui aurait pu mettre des vies humaines en danger.
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Les Japonais pour répliquer au harcèlement des écologistes, utilisent une nouvelle arme militaire interdite en Antarctique, puisque que le traité de l’Antarctique spécifie que c’est une zone démilitarisée. Au mépris du droit international, les navires baleiniers japonais sont équipés d’un système appelé Long Range Acoustic Weapon (LRAD). Ce système envoie des ondes sonores haute fréquence qui cause la désorientation et des nausées sur les humains. Quant une personne est ciblée par cette arme, elle sent le son et sa vibration dans tout son corps. Mais ça ne me surprend pas de ces chiens sales de baleiniers japonais.

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Des membres du Steve Irwin ont été blessés lors des accrochages. Un en recevant un projectile métallique lancé par un japonais et un autre qui a reçu un jet d’eau haute pression qui l’a fait chuté et qui a causé une blessure à la tête. Hier le Yushin Maru No.1 est même entré en collision avec le Steve irwin en tentant d’empêcher celui-ci d’aller perturber le transfert d’une baleine harponnée. En gros la stratégie de Sea Shepherd est de se tenir le plus prêt de la porte arrière du navire-usine Nisshin Maru No.2 pour gêner le transfert des baleines harponnées. Les 3 navires harponneurs japonais eux, tentent de bloquer le chemin au Steve Irwin en faisant des manoeuvres dangereuses.

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La photo ci-haut représente le Steve Irwin ciblé par des canons à eau haute pression. Une baleine de Minke fraîchement harponnée est hissée à l’intérieur du navire-usine japonais Nisshin Maru No.2 par la porte arrière. Le navire harponneur Yushin Maru No.2 se tient juste à côté du Nisshin Maru No.2 et devant le Steve Irwin. L’hélicoptère de Sea Shepherd espionne la scène. Ça me désole cette scène-là. Je trouve l’humanité sale, lâche, hypocrite et prête à dévaster la planète pour faire une piasse sur le dos de la Nature.

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L’équipage de l’hélicoptère d’observation du Steve Irwin a été ciblé par le système d’arme sonore LRAD, ce qui aurait pu provoquer un écrasement vu l’incapacité du pilote à cause des effets de cette arme. Bref on sent un escalade de la confrontation et et la frustration des japonais quant Sea Shepherd perturbe leur chasse commerciale illégale. Je suis déçu qu’on ne parle pas de ces évènements dans nos médias. Mais avec la censure et le contrôle politique dans nos médias d’information, je ne suis pas surpris pantoute. Le Canada ayant des millions de litres de sang sur les mains lors de la chasse aux phoques, je ne suis pas surpris de la lâcheté de Radio-Canada pour aborder la question de la chasse à la baleine.

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Les pays membres de la Comission Baleinière Internationale et qui sont contre la chasse à la baleine sont également une belle gang de lâches. Ils font des beaux discours écolos mais sur le terrain, il n’y a rien. On laisse de façon indirecte à Sea Shepherd la responsabilité d’appliquer les lois avec des moyens limités. Les Japonais rient du droit international et de toutes les nations de la Terre en toute impunité. Les Japonais sont en train de vider les océans du monde. Au large de la Somalie par exemple, ils ont tellement détruit l’écosystème marin, que les pêcheurs artisanaux somaliens acculés à la famine en sont réduit à faire de la piraterie pour survivre. Le Japon a même dépêché un de ses destroyers pour repousser ces « méchants pirates ». Ça vos médias vous l’on pas dit. On vous a pas dit pourquoi la plupart sont devenu des pirates.

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Concernant les méthodes de chasse « humaines » des Japonais. L’hélicoptère de Sea Shepherd a filmé une baleine de Minke qui a mis 25 minutes à mourir après avoir été harponnée. Les baleiniers japonais ont été obligé de l’achever avec 7 coups de fusil. Ça me rappelle un peu les méthodes de chasse au phoque sans douleur de nos « héros » ti-counes des Iles-de-la-Madeleine.
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Le génocide des mammifères marins se poursuit…
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Un rorqual hissé par une grue.
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Publié par : pierrotlapin | 3 février 2009

L’industrie de la détention des cétacés

Gasper un bélouga décédé à cause de faiblesse du système immunitaire en janvier 2007.
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Tant qu’à parler d’une pétition pour les bélougas, aussi bien parler un peu d’eux. Ces animaux sont très connus ici au Québec, surtout à cause du phénomène des croisières au baleines. Comme tout le monde sait, ils sont menacés par la pollution du Fleuve St-Laurent et par le trafic maritime intense. Ils sont tellement contaminés au BPC et autres matières toxiques que les cadavres de belougas que l’on retrouve sur les berges du St-Laurent sont considérés comme des déchets toxiques. On retrouve environ 15 dépouilles par année sur les berges du St-Laurent.
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A part la pollution, l’autre péril qui menace les bélougas est l’industrie des delphinariums (parcs marins). Une quantité incroyable de bélougas est capturée à chaque année pour suffire à la demande des delphinariums. Comme ces mammifères marins en captivité ont une espérance de vie coupée de moitié, les directeurs des parcs marins sont toujours en quête de nouvelles recrues. C’est la Russie qui alimente le plus ce commerce lucratif de bélougas. Après sa capture, le bélouga aboutit dans un parcs marin dont les conditions de vie sont souvent pénibles. Bassin trop petit, température de l’eau inadéquate, mauvaise nourriture, incompétente des soigneurs et même mauvais traitements. Par exemple à Sharm el Sheikh en Egypte en 2004, il y avait un belouga dans un bassin exposé directement au soleil avec une eau de 25 degrés centigrades alors que le bélouga, qui est une créature des mers polaires, est habitué à une eau de 1 ou 2 degré au dessus de zéro. C’est comme emprisonner un ours polaire dans une cage dans le désert du Sahara.
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Le Japon est un des pays qui est le plus impliqué dans le trafic de bélougas. Ce n’est pas une surprise étant donné que le Japon est le bourreau No.1 de la vie marine sauvage dans le monde. La Commission Baleinière Internationale (IWC) a calculé que sur 29 populations de bélougas connues, quatre seulement ont des effectifs stables.
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Gasper le petit bélouga de l’Aquarium de Géorgie est mort à 17 ans en janvier 2007 de problèmes de santé reliés à son système immunitaire déficient. En général les bélougas peuvent atteindre 50 ans en liberté. Ces baleines malgré leur apparence différente de la nôtre, sont très semblables à nous. Elles font des dépressions quant elles subissent des séparations. La vie dans une delphinarium est équivalente pour elles à une peine de prison non-méritée.
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Le delphinarium qui tenait Gasper en détention a émis ce commentaire lors du décès du petit cétacé: « il a eu une belle vie en captivité, c’était toujours mieux pour lui de vivre en cage à faire le guignol que de se faire bouffer par un ours polaire ». Mon avis est que si on suit la logique de ce commentaire stupide, on devrait mettre tous les humains en prison pour ne pas qu’il leur arrive malheur pendant leur vie.
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Un bélouga c’est un animal sauvage fier et autonome en liberté mais transformés en « B.S. » pour notre divertissement. Ces animaux n’ont pas le choix d’échanger leur dignité contre quelques poisson s’ils veulent survivre. Je trouve l’image en bas dégueulasse, sachant qu’on transforme des animaux sauvages et menacés en clown pour notre divertissement. J’espère qu’un jour on fermera tous ces parcs marins pour toujours.

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Échanger sa dignité pour pouvoir manger des poissons.
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Sources:
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Publié par : pierrotlapin | 3 février 2009

Les bélougas vs Sarah Palin

Malgré qu’on entende moins parler de Sarah Palin, la gouverneure de l’Alaska continue de brasser de la marde. La survie des bélougas de l’Alaska est menacée par des projets d’expansion portuaire ainsi que par l’appât du gain de l’industrie pétrolière. Sarah Palin en bonne républicaine qu’elle est, se préoccupe davantage de l’essence dans son VU que du sort de la faune de l’État dont elle est pourtant responsable. Je vous invite à signer cette pétition. Elle est courte à remplir, une minute environ. En donnant juste cette minute de votre temps vous aiderez peut-être à améliorer le sort de bélougas en Alaska.
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Pour signer la pétition c’est ici. :o)
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Les bélougas s’ils avaient Internet vous diraient sans doute merci de penser à eux-autres.

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Publié par : pierrotlapin | 2 février 2009

The World is a Vampire


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C’est le vidéo de promotion de la série « Whale Wars » qui a passée sur Animal Planet en novembre 2008. Il y a plusieurs extraits de cette série sur Youtube. Cette série a été réalisée par Sea Shepherd pour dénoncer la chasse à la baleine et mettre en valeur le travail dévoué de l’organisation écologiste. C’est un bon vidéo promotionnel, on dirait presque un vidéo « Si la vie vous intéresse » des Forces Armées Canadiennes mais version écologiste. D’ailleurs le slogan « You have not lived until you’ve found something worth dying for » qu’on voit au début est un peu pour rire du slogan de l’armée canadienne. J’aime bien la finale avec la toune des Smashing Pumkins « Bullet With Butterfly Wings« . Sur le vidéo on voit les membres de l’équipage du Steve Irwin qui tire des éprouvettes d’acide butylique sur le baleinier japonais. L’acide butylique c’est seulement une « bombe puante » qui rend le pont glissant. Par contre on voit les Japonais utiliser des Flash Bang et Paul Watson reçoit même une véritable balle de fusil en pleine poitrine. On le voit retirer un plomb de son gilet par-balle. Le tireur n’a jamais été arrêté.
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Faudrait qu’un jour cette série passe au Québec à TQS, TVA et Radio-Canada, même si je serais surpris que ça arrive étant donné que le Canada fait partie des États voyous qui dévastent les ressources marines. Le Farley Mowat de Sea Shepherd qui était parti perturber la saison de chasse aux phoques 2008 dans le Golfe St-Laurent est toujours confisqué illégalement par le gouvernement canadien.
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Contrairement à Greenpeace qui pense arrêter la chasse à la baleine en collant des bannières sur des poteaux, Sea Shepherd confronte les baleiniers sur leur terrain. Il est arrivé dans le passé que Sea Shepherd ait coulé des baleiniers. L’Islande, la Norvège et l’Espagne figure au tableau de victoire de l’organisation. Ces sabotages n’ont fait aucune victime.
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Le tableau de chasse de Sea Shepherd
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Publié par : pierrotlapin | 31 janvier 2009

Se pendre à des crochets pour sauver les requins

En 2008, Alice Newstead, une artiste de performance, a offert une performance assez spéciale dans la vitrine d’une boutique de Londres. Elle s’est suspendue par la peau du dos à des crochets pour protester contre la pêche au requin. La pêche aux requins est sans doute le plus grand massacre animal du globe. Chaque année, 100 millions de requins sont capturés juste pour leurs ailerons afin de suffire à la demande de soupe aux ailerons en Asie. En général, le requin est remis à l’eau vivant sans ses ailerons, où il est voué à une mort certaine. L’utilisation du requin dans l’industrie des cosmétiques existe aussi. Les femmes en voulant se faire belle ont été impliquées malgré elle dans le massacre des baleines (rouge à lèvre, corsets, cosmétiques) et des requins.

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Ne pas essayer cela chez vous.

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Pour sa performance Alice Newstead s’était maquillée en poisson et avait mis un costume de sirène. Alice a utilisé le même genre de crochet dont on se sert pour accrocher les requins. Elle a tenu 15 minutes comme ça dans une vitrine. On peut la traiter de folle, mais on peut pas lui reprocher de manquer d’empathie pour les requins. Vouloir ressentir la souffrance des autres en signe de solidarité je trouve cela noble même si ça paraît fou à première vue.

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Il faut noter cependant que l’anglaise de 26 ans est habituée de se pendre avec des crochets car elle fait partie d’une troupe de performance du genre. Nous vivons dans un monde de fous mais quelque part, je crois que c’est des gens un peu fou qui vont nous aider à voir et règler les problèmes de ce monde. Malgré que j’ai une méfiance envers l’art moderne, je trouve que le mode d’expression artistique d’Alice sert à quelque chose. C’est complètement différent de la machine à marde de l’UQAM avec « l’artiste » qui regarde son nombril en se pensant un créateur.
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Prochainement sur le blog de Pierrot Lapin, des photos couleurs et sanglantes de Pierrot Lapin pendu par les couilles avec des crochets pour sauver les baleines. :o)

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Publié par : pierrotlapin | 31 janvier 2009

Le Requin Blanc est-il un mangeur d’hommes?

Dans un récent billet j’avais écrit un peu au sujet d’une jeune australienne qui s’était fait mordre par un Requin Blanc. La plupart des gens ont déjà leur idée en tête sur les requins. L’image la plus répandue est que ce sont des animaux qui attaquent gratuitement et raffolent de la chair humaine, un peu comme le requin dans Jaws. Bien que les plages du monde regorgent de millions de baigneurs, les attaques de requins sont très rares. Des milliers de nageurs dans le monde se sont sans doute fait suivre de très près par un Requin Blanc sans s’en rendre compte. Le Requin Blanc n’aime pas la chair humaine malgré la réputation non méritée qu’il traîne. Les faits démontrent qu’il déteste nous manger. Pour évaluer ses proies, le Requin Blanc ne dispose pas de bras comme nous, sa mâchoire lui sert donc de sens du toucher, ce qui explique certaines attaques.

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Erreur sur la personne
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La plupart des attaques et probablement toutes les attaques de requin blanc sont des méprises avec des otaries et des lions de mer, les proies habituelles du Requin Blanc. Les surfeurs sont des personnes à risque pour les attaques à cause de la planche de surf qui rappelle un gros poisson et de la couleur noire des costumes de plongée qui rappelle la texture de la peau des otaries. La plupart des attaques se résument à une grosse morsure, le Requin Blanc mord et dit « Beurk » et il s’en va. Mais souvent, vu la puissance de la dentition de ce requin, cela suffit pour entraîner le décès du nageur par hémorragie. Si le Requin Blanc était un réel mangeur d’hommes, le buffet serait servi pour lui sur les centaines de plages du monde. Il y aurait des centaines sinon des milliers de morts par année et les plages seraient perpétuellement fermées étant donné qu’il serait attiré par nous. Il ne perdrait pas son temps à courir des poissons mais se taperait juste des humains bien engraissés.

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Pourtant ce n’est pas ce qui se produit. Il faut comprendre que depuis des millions d’années, le Requin Blanc a acquis des habitudes alimentaires basées sur la prédation des mammifères marins. Quant un Requin Blanc nous voit, il est dérouté, nous ne représentons pas une proie habituelle pour lui. Il peut bien sûr arrivé qu’un Requin Blanc dévore sa victime comme il le ferait avec une otarie mais ce genre d’attaque est extrêmement rare. Dans ce cas précis, il est possible que la rareté des proies rende le Requin Blanc moins sélectif dans ses goûts alimentaires et plus menaçant pour l’Homme. On a peut-être affaire aussi à des individus plus agressifs que les autres, comme cela se voit avec d’autres animaux (ours, lion, etc…).

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Dans une vie, les chances d’être attaqué par un humain sont largement supérieur à la probabilité d’une attaqué par un requin. Plus de personnes dans le monde meurent par année en recevant une noix de coco sur la tête que par une attaque de requin. Plus de personnes dans le monde meurent par année en tombant dans leur baignoire. Si vous voulez des chiffres, entre 2003 et 2005, il y a eu 1,662 meurtres commis dans la ville « civilisée » de New-York. Des humains qui en tuent d’autres souvent juste pour leur voler 5$ pour acheter de la drogue. Je ne parlerai pas des milliers de guerres que les humains ont fait entre eux dans leur belle histoire. Considérant qu’il y a sans doute des millions de requins d’espèces « dangereuses » en tout dans les mers du monde, les 5 attaques mortelles de requin par année font de cet animal une créature plutôt paisible. En fait la créature qui tue le plus dans le monde est… le redoutable moustique, qui transmet maladies mortelles et épidémies et provoque des millions de décès annuellement dans le monde.

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Menace d’extinction du Requin Blanc

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Entre 1980 et 1990, on parle d’une baisse de 94% de la population du requin blanc en Australie, un véritable génocide. En avril 2006, la population de Requin Blanc (Carcharodon carcharias) de l’Atlantique a été classée comme étant en voie de disparition par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC). Un film comme Jaws a beaucoup fait pour démoniser cet espèce, on s’est servis de l’image projeté du requin dans ce film pour légitimer une pêche sportive abusive du Requin Blanc.

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Des faits intéressants sur le Requin Blanc (carcharodon carcharias)

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Le but de mon article n’est pas de montrer toute la biologie du Requin Blanc mais de montrer des faits méconnus sur ceux-ci. Le Requin Blanc dans sa jeunesse fréquente les eaux de surface, là où les rencontres avec les humains arrivent souvent. Les plus vieux (donc les plus gros) se tiennent dans les eaux plus profondes. Des indices portent à croire que le requin blanc change se sexe pendant sa vie. Les plus gros requins blancs capturés étant toujours des femelles, on suppose qu’ils sont donc mâles dans la jeunesse et deviennent des femelles en vieillissant. D’autres espèces de poissons ont ce genre de fonction de « changement de sexe » qui procure un avantage évolutif. Ceci permet aux femelles d’avoir une meilleure chance de mettre bas. La taille d’un requin blanc peut varier entre 3 et 6 mètres mais il existe probablement des spécimens plus gros étant donné que les spécimens plus âgés vivent dans les profondeurs pour ne plus revenir en surface.
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Un requin blanc mange des otaries, des marlins et espadons, des thons et d’autres requins. Parfois il peut attaquer des dauphins malades, des baleineaux et par mégarde des humains. Le Requin Blanc a un prédateur, l’orque. On a déjà vu en Californie une femelle orque réduire en pièce un Requin Blanc pour protéger son petit. Contrairement à la réputation de machine à bouffer du Requin Blanc, celui-ci peut être 1 mois sans rien manger. Il dispose d’un odorat supra-développé et d’une forme archaïque d’écholocation comme les cétacés. On estime que le Requin Blanc possède la pression de mâchoire la plus puissante du monde animal, soit 2 tonnes.
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Les moeurs sexuelles sont mal connues. On suppose que la parade amoureuse a lieu au fond de l’océan et que celle-ci est passablement violente si on considère les cicatrices que portent les femelles sur elles. Une femelle Requin Blanc peut avoir de 2 à 10 petits. Il y a aussi du cannibalisme intra-utérin chez les petits, les gros dévorant les petits… S’il est chanceux le ti-requin peut vivre jusqu’à 40 ans. Un Requin Blanc peut sentir une goutte de sang parmi 4,6 millions litres d’eau. Donc, c’est pas une idée pour une fille que d’aller dans une plage fréquentée par les requins pendant sa « semaine maudite ». C’est pas sûr que le Requin Blanc attaquera mais il vous sentira de loin ça c’est sûr.

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L’ancêtre probable du Requin Blanc
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Un Mégalodon en haut, un Requin Blanc et un nageur en bas.
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Si le Requin Blanc n’est pas si redoutable que cela en tenant compte des statistiques, on ne peut en dire de même de son cousin de la Préhistoire, le Carcharodon Mégalodon. Ce poisson était un monstre d’environ 20-30 mètres qui nageait dans les océans il y a 16 millions d’années. On estime que la taille du Mégalodon était semblable à celle d’une baleine bleue, ce qui en fait le plus grand poisson prédateur n’ayant jamais existé. La taille d’une seule dent d’un Mégalodon donne une idée de la dimension de la créature qui devait sans doute être le fléau des mers à son époque. La puissance de mâchoire d’un Mégalodon a été estimée entre 12 et 20 tonnes, soit assez pour arracher la nageoire arrière d’une baleine d’un seul coup. D’ailleurs il est presque certain que les baleines figuraient au régime alimentaire de cette créature cauchemardesque. Par rapport au Mégalodon, le Requin Blanc fait presque figure d’animal sympathique.

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Heureusement pour nous baigneurs, le Mégalodon est une espèce éteinte depuis 10,000 ans. Les scientifiques ont pensé que la cause de son extinction a été les changements climatiques océaniques ainsi que la concurrence des mammifères marins chassant en groupe (orques, cachalots). Des rumeurs laisse penser que l’espèce n’est peut-être pas tout à fait éteinte. Plusieurs témoignages ont eu lieu concernant un gigantesque requin de 20 mètres mais entièrement blanc. Lors d’un exploration scientifique dans le Pacifique au XIXème siècle (navire Challenger), on a retrouvé des dents neuves de requin d’une taille de 12,5 centimètres qui sont peut-être des dents de Mégalodon. Sans compter les dents de Mégalodon datées de 5,000 ans retrouvées au large de Victoria. En 1980 au large du Queensland et de la Nouvelle-Galles du Sud, un Requin Blanc de 27 mètres aurait été aperçu, bref ce ne devait probablement pas être un Requin Blanc mais un Mégalodon. Note à mon agenda, canceller mes vacances de plongée au Queensland.
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Une dent fossile de Mégalodon.
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Il est très possible que le Mégalodon, le grand cousin du Requin Blanc existe encore dans le Pacifique. Cependant, c’est probablement un poisson qui chasse dans des grandes profondeurs, ce qui explique pourquoi on ne le rencontre jamais en surface. Il y a des rumeurs qui disent que le Commandant Cousteau lui-même aurait aperçu un Mégalodon au court d’une plongée au large de Djibouti. Le célèbre océanographe aurait dit que l’humanité n’était pas prête pour une telle découverte. Possiblement que Cousteau ne voulait pas que le fameux poisson ne finisse en bête d’aquarium et qu’il a gardé sa découverte secrète. La découverte d’un Mégalodon vivant ne serait pas une surprise pour la science puisqu’on a retrouvé en 1938 un véritable fossile vivant le Cœlacanthe, qui vivait il y a 360 millions d’années. On a même retrouvé 2 espèces différentes de ce poisson.
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Les causes principales de décès aux États-Unis et les chances de mourir
par une cause précise dans une vie
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Maladie cardiaque
652,486 cas par année 1 chance sur 5
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Cancer
553,888 cas par année 1 chance sur 7
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Accident automobile
44,757 cas par année 1 chance sur 84
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Foudre
47 cas par année 1 chance sur 79,746
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Attaque de requin
1 cas par année 1 chance sur 3,748,067
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Sources:
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Évaluation du potentiel de rétablissement du Requin Blanc au Canada atlantique.
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International Shark Attack File.
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Statistiques sur les risques d’attaque de requin.
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